Skip to main content
Digital magazine

Couleurs Jazz numéro 7

By 8 April 2014One Comment

Edito

COULEURS JAZZ voyage avec et grâce à vous sur des ondes mystérieuses. Imperceptiblement, le mouvement initié s’accentue, s’accélère. Nul risque de vertige sauf à écouter, retrouver, rejoindre avec plus de plaisir encore cette musique qui tourne autour de la planète. Qui sommes-nous lorsque nous choisissons de prêter l’oreille à une écriture jazz ? Que détiennent les accords, les sons, les rythmes qui se répandent et nous animent ? «La patate» ! Ce tubercule convient bien au renouveau printanier qui accompagne le 7e Numéro du magazine. Une racine énergique et pleine de réserves, qui fait sourire et donne la pêche.

Ensemble ou orchestre, nous effectuons un parcours de reconnaissance dans l’univers d’un groupe conséquent de musiciens. Une gageure pour cet art qui rassemble autant de solistes que d’instruments. La suprématie des orchestres de jazz revient à ses chefs et à leur posture. Le plus profond respect s’impose devant Duke Ellington auprès duquel l’orchestre de Laurent Mignard a trouvé sa vocation. L’évolution tient souvent à la personnalité de celui qui assume la direction. Wynton Marsalis assure la destinée de Jazz at Lincoln Center, on lui doit une vision personnelle de cette musique, tout autant que sa pénétration sur la scène internationale et médiatique dans son pays, qui fait défaut à bien des audiences. Leurs noms claquent pour le public et leurs complices sur scène : Guillermo Klein y los Guachos, Jules Buckley et le Metropole Orkest, Carine Bonnefoy et le New Large Ensemble, Daniel Yvinec et l’ONJ. Le voyage ne fait que commencer.

Dans ce 7e numéro, vous prendrez the ‘A’ Train, histoire d’un thème ellingtonien. Arrêt obligatoire pour Liz McComb, une lady de l’âme, qui chante rock et soul ce qu’elle pense. Embarquement immédiat avec Médéric Collignon pour le film de Josselin Carré, medo(s), tout un portrait. Vous n’êtes pas prêt de redescendre avec Jacques Schwartz-Bart et le jazz Racine Haïti. Patrick Savey n’a jamais oublié sa rencontre avec Miles… En voiture, le DJ s’appelle Lionel Eskenazi. Enfin, le premier lecteur à nous envoyer une Nouvelle à publier s’appelle Thomas Marsch et il habite New York. Merci à lui. Décollage imminent.

[itunes url=”https://itunes.apple.com/fr/app/couleurs-jazz/id571323800″/]

One Comment

Leave a Reply