Mon frère Didier est » parti »… il a rejoint l’énergie du soleil qu’il avait en lui ! …
Francis Lockwood
…Il avait cette passion, cette énergie, ce feu sacré (expression que Claude Nougaro aimait à employer pour décrire de tels artistes) qui forgeait aussi son caractère volontaire et décidé.
Dans ce rayonnement intense de feu et d’énergie, c’était aussi un être d’une profonde et sincère générosité ; toutes ces choses sont d’ailleurs tellement palpables dans son jeu…
Stéphane Guillaume
Warlop-Grappelli-Ponty-Lockwood : il était la dernière strate d’une sédimentation unique qui a fait le violon jazz de chez nous. Avec cette petite caisse où tourbillonnait avec un charme infini la bohème, le swing, les sons d’aujourd’hui …et un solide sens de l’humour, Didier Lockwood a enchanté la planète jazz bien au-delà de nos frontières. Malgré son admiration indéfectible pour Stéphane Grappelli, il a été l’artiste de toutes les aventures : prix de conservatoire et licence de concert École Normale de Musique en poche, il a participé à la grande aventure du jazz-rock, prêté son archet virtuose à de multiples projets discographiques avec les plus grands jazzmen, collaboré avec de grands noms de la variété noble (Nougaro, Barbara…), jeté un pont salutaire entre le monde du classique et celui du jazz. Il a également prodigué sans compter son énergie communicative aux jeunes générations : il pouvait encourager dix violonistes sans craindre qu’un Brutus ne lui ravît le trône ! Militant acharné d’une réforme de l’apprentissage de la musique par le développement de la sensibilité artistique et l’improvisation, il a porté ses convictions auprès du monde de l’éducation, matérialisées par la création d’une école dont le succès sera son bâton de maréchal : le Centre des Musiques Didier Lockwood.
Ce n’est pas qu’un grand violoniste qui se tait aujourd’hui, c’est un défenseur de la musique et des arts qui fut pour moi un ami éclairé, un roi de cœur.
François Lacharme
Son enCIELement nous a irradiés…sans aucune fausse note….
VirtuOSE dans la musique comme dans la vie… Souhaitons que sa disparition brutale réveille en nous avec forces créatives, la réalité fondamentale de ses combats pour la musique, la rendre rayonnante pour le plus grand nombre…
Sa BELLE âme peut repose en PAIX…la qualité de son rapport au monde nous a enrichis… de cadeaux si précieux….
Catherine Hugues.
Mon papa d’amour,
Tu nous as quittés beaucoup trop tôt. Tu étais un artiste extraordinaire, un poète. Ton cœur brillait tellement fort que ton petit corps n’a pas su le contenir. Aujourd’hui ton âme flamboyante flotte paisiblement au dessus de nous.
Au revoir papa, on se retrouvera dans une autre dimension… Je t’aime ❤️🎻🎼🎹🎺
Mathilde Lockwood.
Il a été Notre représentant pour la musique improvisée dans les médias ,les milieux politiques , la musique classique et académiques .
Un exemple de professionnalisme,
D’ouverture à toutes les musiques , De rigueur et de créativité .
Je voudrais lui rendre hommage car c’est grace à lui que je suis monté à Paris et pu faire la carrière que j’ai fait par la suite
Dominique Dipiazza
Non trovo le parole per esprimere lo shock e la profonda tristezza nell’avere appreso questa tremenda notizia, non ci credo ancora… Ho perso un vero Amico un vero Maestro una Persona Speciale con la quale si era instaurata un’autentica stima reciproca, quelle cose che capitano veramente rare volte nella vita, una persona che mi ha insegnato molto. Sono vicino col cuore a tutta la sua famiglia. RIP Grande e Unico Didier
Antonio Farao
Profondément généreux et communicatif, il va manquer à ses amis, à la musique, à tous les enfants qu’il avait envie d’éclairer avec sa passion… Profonde tristesse d’apprendre le décès de Didier Lockwood, immense violoniste de jazz français, qui a sans cesse exploré de nouveaux horizons musicaux, et s’est investi avec passion dans la promotion de l’éducation artistique et culturelle. Mes pensées vont à sa famille.
Françoise Nyssen
I have no words… Didier Lockwood, Le Beau, talented, Je suis très triste. I am in shock and feeling sad, a friend and someone that I really admired and loved with my heart, Didier and Francis Lockwood, his family, I feel sad… just sad. Didier RIP❤️🙏🏼 amigos é difícil de entender… uma pessoa tão simples, amiga, que talento! Conheci Didier em Belém, tinha 17 anos, o reencontrei em Paris, fizemos parte de um filme juntos, eu atriz e ele fez a trilha sonora. Reatamos a amizade, seu irmão Francis❤️ suas filhas e mulheres ( ele se casou varias vezes), seus pais… um destino, tinha um grande carinho por ele… inconsolável. Me sinto arrasada. Didier uma linda estrela, brilhando no céu …
Silvana de Faria Ditcham
©Photo Jacques Pauper pour Couleurs Jazz
Didier Lockwood ? Non, on ne meurt pas si facilement ! Même si à chaque concert il s’offrait en joie pleine avec son violon, comme au Duc il y a peu. Il fait soudain plus froid dans mon coeur que sur les flancs enneigés des côtes d’Ottawa…. /
… C’est le moment de la séparation. Didier Lockwood s’en va en nous murmurant avec douceur cet enseignement de René Char : « Nous n’appartenons à personne sinon au point d’or de cette lampe inconnue de nous, inaccessible à nous, qui tient éveillés le courage et le silence. »
Christine Taubira
Nous pleurons l’artiste, l’homme, le talent créatif d’un des plus grands maîtres d’un jazz au-delà de ses propres horizons, éternellement jeune et passionné. Je suis triste aussi parce que Didier, tu représentes un ami de coeur qui m’a accompagné de ta musique, entre moments de joie et de peine, de mon adolescence jusqu’à demain et « après demain » (enfin , j’espère) …
Thierry de Haro
Non trovo le parole per esprimere lo shock e la profonda tristezza nell’avere appreso questa tremenda notizia, non ci credo ancora… Ho perso un vero Amico un vero Maestro una Persona Speciale con la quale si era instaurata un’autentica stima reciproca, quelle cose che capitano veramente rare volte nella vita, una persona che mi ha insegnato molto. Sono vicino col cuore a tutta la sua famiglia. RIP Grande e Unico Didier
Antonio Farao
Stupeur en ce dimanche où l’on vient d’apprendre la disparition de Didier Lockwood, foudroyé par une crise cardiaque au retour d’un concert. Nous serons nombreux à nous sentir orphelins de sa générosité tout azymuth et de sa passion de la transmission. Dès Musique Matin, et évidemment dans ses rendez-vous jazz, France Musique lui rendra hommage avec des larmes au bout de l’archet.
Et une pensée particulière pour ses proches et celles et ceux qui ont partagé les étincelles de sa vie.
Alex Dutilh
Didier, compagnon de route depuis toujours, pour toujours. Tu es resté ce jeune adolescent que j’ai connu lorsque tu avais 17 ans. Ton archet incandescent déversait des lames de feu et de sensibilité. Avec le temps, ta joie, ton plaisir de jouer sont restés intacts. Emporte avec toi ton violon magique et continue de délivrer ce message d’amour dans ces sphères inconnues.
A vie, à mort et après…
Christian Vander
Passé cette magistrale claque de l’annonce du décès de Didier Lockwood, même si je ne suis pas encore en phase d’acceptation de cette injustice criante, je pense qu’il est temps de lui dédier nos fous rires à venir et continuer à véhiculer ce message de paix, de tolérance et d’ouverture aux autres qui a conduit sa vie. Il aurait détesté que l’on soit triste et replié sur nous même. Show must go on!
Eric Barbara
C’était un musicien sans aucune barrière, il avait enregistré avec Nougaro, Barbara, et aussi dans le jazz, la musique classique ou contemporaine… Il avait une vraie personnalité dans son jeu, dans son phrasé, dans le choix des notes… Au mois d’août, nous avons joué le même soir à Marciac, il s’est lancé dans une improvisation, j’avais l’impression d’entendre John Coltrane jouer du violon… Je me suis dit : il ne va pas s’arrêter, il va s’envoler ! Dans ses improvisations, il pouvait aller dans la musique classique, la musique contemporaine, il était dans la composition instantanée. Il jonglait sur les harmonies avec une aisance ! C’est très rare, des musiciens qui ont une telle connaissance de la musique. On faisait partie de la même tribu.
Richard Galliano
Parfois la vie vous réserve d’agréables surprises, de belles rencontres..
Lorsque j’étais élève à l’Imfp de Salon, j’ai eu le privilège d’assister à une MasterClass dont l’invité était Monsieur Didier Lockwood..
Cette rencontre fut une vraie révélation, j’ai compris grâce à lui ce que représentait le jazz pour moi, l’importance et l’influence que pouvait avoir cette musique sur ma vie, sur mon âme.
Je ressens encore aujourd’hui l’émotion qui m’étreint lors de cette première rencontre, il m’est difficile de trouver les mots justes pour décrire ce moment. Didier Lockwood était un violoniste au talent infini, beaucoup de profondeur et de perspicacité musicale, un sage visionnaire..son cœur et son âme transcendaient sa musique, il émanait de lui énormément de gentillesse et de générosité.
Sa musique m’a aidé dans des moments difficiles mais a aussi ouvert en moi des perspectives que je ne soupçonnais pas, une approche différente, beaucoup plus sensorielle, plus ouverte..
Aujourd’hui Il nous quitte brutalement, ma tristesse est grande, le monde musical perd un de ses meilleurs musiciens, moi je perd un mentor, et bien plus que ça je perd un véritable père spirituel..
Jean-Marc Nourri
Aujourd’hui, je n’ai envie de me souvenir que de ces moments de joie et de musique et ne plus être triste. Didier n’était pas triste, ne le soyons pas à sa place même s’il va nous manquer à tous. Sa grande musicalité et les souvenirs partagés resteront dans nos coeurs.
Jeanmi Kajdan
©Photo Jacques Pauper pour Couleurs Jazz
Mon Didier… j’essaye depuis dimanche d’écrire quelques lignes. Pas facile !
Je te dois une si grande partie de ce que je suis aujourd’hui, sur tous les plans, que je ne sais même pas comment m’y prendre.
J’ai grandi sous ton toit depuis l’âge de 4 ans. Tu m’as fait découvrir le jazz et l’improvisation, m’as fait monter sur scène lorsque j’étais encore un enfant, as produit mon premier disque et m’as guidé sur le chemin de la musique, à chaque étape. Tu étais mon second père, mon mentor et mon modèle. Mon nom, c’est toi qui as eu l’idée de le mettre à l’envers !
Le foyer que vous aviez construit, ma mère Caroline et toi, à la campagne, a été l’univers fabuleux de la plus belle enfance que je puisse imaginer.
Je vous suis tellement reconnaissant à tous les deux de nous avoir permis de vivre ça, à moi, mon frère David et mes sœurs Sarah, Natacha et Mathilde.
Tu m’as mis le pied à l’étrier dans le monde de la musique, tu m’as appris à « lâcher prise », à ne pas trop me prendre au sérieux et surtout, à tout donner à chaque note de chaque solo de chaque concert. Je te vois encore me dire, lorsque j’avais 10 ou 12 ans : « Joue ta vie ! » et « Chaque note que tu joues, c’est un petit bout de toi que tu donnes », et « Tu dois jouer pour les anges », et j’en ai encore plein comme ça. Ton obsession, c’était le groove, le swing, le lyrisme, l’élégance, tu me disais « On s’en fout des notes, groove et raconte une histoire ! ».
L’école que tu as créée, le CMDL, j’y ai tout appris, avec tes amis Benoît Sourisse, André Charlier… J’y ai rencontré, à l’âge de 8 ans, des musiciens qui sont toujours mes partenaires de scène, plus de vingt ans après, comme Nicolas Charlier et tant d’autres ensuite. Tu m’as même permis d’y enseigner à mon tour ! La transmission était si essentielle pour toi.
Tu m’as tellement transmis, tellement donné, c’est vertigineux de rembobiner le film !
Combien d’heures passées à se faire écouter nos compos respectives à la maison ? Combien d’heures à refaire le monde, combien de balades en forêt en famille ? Et combien de centaines de concerts ensemble, de voyages, de fous rires dans les loges et sur scène ?
Tu m’avais donné ton violon. Tu voulais que je n’abandonne pas, que j’en fasse juste un peu tous les jours, « pour ne pas perdre, c’est trop con ! »… J’ai abandonné mais je vais reprendre. Il est toujours là, posé sur mon piano, chez moi, il attend tranquillement. Je vais essayer de m’y remettre, promis !
Je n’arrive toujours pas à croire que tu es parti… c’est tellement absurde et brutal.
C’était bon de te rendre hommage ce matin avec ta famille et tous tes copains. Ce soir, je jouerai pour toi… pour les anges !
Je t’aime, mon Didier. Bon voyage !
Thomas Enhco
Le violon de Warlop…. Tout autant que Jean-Luc Ponty et Didier Lockwood, Pierre Blanchard a reçu, des mains de Stéphane Grappelli, « le violon de Warlop ». Né à Douai, le violoniste Michel Warlop (1911-1947) a joué avec Maurice Chevalier, Stéphane Grappelli et Django Reinhardt, Raymond Legrand (père de Michel), etc. Il est considéré comme l’un des meilleurs jazzmen des années trente. Son violon n’a, en réalité, jamais quitté l’appartement de Grappelli, pour qui « attribuer le violon de Warlop » était une manière d’adouber un jeune musicien…… merci de ne jamais oublier cela …
Bernard Delhalle
©Photo Jacques Pauper pour Couleurs Jazz
Je suis vraiment sous le choc !
J’ai vu Didier pour la 1ère fois en 1975 avec la nouvelle formation de Magma incluant Benoît Widemann, Bernard Paganotti. C’était un concert à la Fnac Montparnasse, puis le Gibus, la Taverne de l’Olympia pour le mythique Live et plein d’autres concerts, tous marquants pour moi.
Puis je l’ai suivi avec Surya, Fusion, le DLG etc …
Dans ces dernières années, Didier était souvent l’invité des Rapetous, dont la dernière fois au Jazz Club Etoile en Novembre dernier, il était tellement enthousiaste de son dernier album avec André Ceccarelli !
Un très très grand musicien nous quitte, je suis très triste
Laurent Cockelaere
La triste disparition subite de Didier Lockwood me ramène a ce souvenir il y a quelques années de ce soir passé ensemble en petit comité après un festival, a l’hôtel auprès de Jean-Marie,Linley, Mina, Erci, Phil… Je n’oublie pas.
Il y a des êtres que tu ne rencontres réellement qu’une fois et qui te marquent par leur simplicité et leur gentillesse. Didier Lockwood était cela aussi.
Stéphane Guery
Didier c’était monsieur 100.000 volts. Je n’arrive pas à réaliser. Il était très humain. C’était un homme très élégant. Il aimait partager, enseigner. On avait énormément de projets en cours. Il venait d’enregistrer un disque avec son épouse (la soprano) Patricia Petibon…
Christophe Deghelt
©Photo Jacques Pauper pour Couleurs Jazz
Bon voyage, Didier Lockwood ! J’ai toujours considéré que les musiciens étaient des sortes de magiciens. Ils peuvent nous transporter, nous faire vibrer, nous émouvoir et émerveiller de différentes manières sur toute une palette de sentiments pouvant aller de la tristesse au bonheur. Didier Lockwood est de ceux-là et je lui dois parmi mes plus belles émotions musicales. Merci Didier pour avoir répandu avec ton violon et ton archet magique toute cette belle musique autour de toi et à travers le monde !
Désiré Razafindrazaka
Didier Lockwood était un artiste d’une formidable audace, visionnaire et enthousiaste, pédagogue de cœur et d’esprit, et l’un des plus grands musiciens français.
J’avais 20 ans quand j’ai rencontré pour la première fois Didier Lockwoo, un déjeuner avec Jean Michel Kajdan et Francis Lockwood. Didier venait de créer son propre label, et l’une de ses premières productions allait être le futur « Nostalgia », qui allait à permettre à Francis d’être qualifié par la presse comme l’un des meilleurs pianistes français (Depuis Nostalgia a été réédité par Frémeaux, tout comme l’intégrale des disques de Francis).
La carrière phonographique de Didier, lancée au départ par Jean-Marie Salhani, puis suivie par son propre label et les majors, avec la protection tutélaire d’Yves Chamberland, a été celle d’un artiste de premier plan qui a pris dans le jazz ce qu’il avait de philosophiquement essentiel : à savoir ouvrir le champs des possibles. Mais Didier en sus de sa figure d’artiste, a toujours su endosser avec charisme la responsabilité « politique » de son talent; Le Centre Musical Didier Lockwood (CMDL) bien entendu, mais aussi les mandats, missions et rapports pour les ministères où Didier a fait preuve de grande citoyenneté en mettant son savoir d’artiste-intellectuel-pédagogue au service de tous.
Didier nous a confié son fonds de catalogue; l’hommage à Grappelli, le manifeste fraternel et délicat de « Brother », mais aussi son nouveau disque Apesantar avecAndré Charlier, Benoit Sourisse, Philippe Balatier et une intervention de Patricia Petitbon. Une pensée aussi pour Didier Levallet qui enregistre en 1978 avec Didier dans le cadre du Swing String System une magnifique ode à ce que les cordes peuvent donner au Jazz ! …/
…Le violon instrument du classique depuis le 16ème se sera inscrit dans la nouvelle musique savante du 20ème siècle; le jazz ! fruit de la mondialisation métissée Afrique – Amérique – Europe grâce à Stéphane Grappelli et Didier Lockwood.
Un artiste dont la virtuosité n’a eu d’égal, que le sens du partage, de la transmission et de l’expérimentation.
Patrick Frémeaux.
©Photo Jacques Pauper pour Couleurs Jazz – (cérémonie dernier adieu en l’Eglise St Roch vendredi 22 février 2018)
Salut Didier.
Tu savais rire autour des notes, entre les rythmes et sur les phrases. Par contre, tu pars un peu trop tôt car tu avais encore de l’improlibration à donner…tu vas manquer au monde entier!
Premier contact: à Avoriaz. Je suis arrivé comme un ouf en musique et tu as eu les yeux brillants. Ça m’a touché, vraiment.
Tu étais la mouette, j’étais le chasseur…
Ton anecdote avec Chirac et Bohringer m’a bien fait rire, rire…rire encore. Oui, Didier. Je vais rire! Improrire…tu fais chier quand même…
… Lockwood, bois bloqué? Violon, bois volant, Archet du son, Robin des voix, Ton fier destin était la scène, La musique squattait ton coeur, De ton Jazz poussaient des fleurs. Lockwood, bois cent soifs, Cordes, flèches en son, Jongleur de mélodies, Ton beau dessein était le geste, Le Cosmos t’a invité À rejoindre le Grand Orchestre De l’Éternité…
Médéric Collignon
Didier Lockwood était vraiment fait pour jouer du violon. C’était une sorte de Paganini du jazz, doué dès l’enfance. Vous savez, les musiciens de jazz ne se comportent pas comme certaines stars de la pop, ils sont plus discrets, même si lui, il avait été mis en avant très vite parce qu’il a participé à des projets transversaux. Il n’était pas uniquement dans un créneau figé. C’était un esprit ouvert. »
Aldo Romano
Quelle tristesse d’apprendre le départ de l’incomparable violoniste de jazz Didier Lockwood.
La France perd un musicien d’exception,un homme aux qualités rares.
Il nous manquera énormément.
Affection pour sa famille et ses proches.
Et profond respect.
Renaud Capuçon
@Photo de photos par couleurs Jazz (cérémonie dernier adieu en l’Eglise St Roch vendredi 22 février 2018)
Abasourdi par cette nouvelle que j’apprend à l’instant.
Cher Didier Lockwood, un grand bravo pour une magnifique carrière originale et inventive.
Un immense merci pour tout ce que tu as fait pour la musique et pour les musiciens.
J’ai pu mesurer le rayonnement de ton école dans le monde entier.
Je n’oublie jamais que tu as distribué sans hésiter mon premier album « Détours » quand c’était si difficile de trouver quelqu’un qui accepte de lancer un premier projet, quand d’autres maisons de disques s’inquiétaient d’abord de mon nom de famille.
Merci et bonne route de l’autre coté de la rive.
Dominique Fillon
Hommage ému à Didier Lockwood, ami et partenaire des plus grands, aussi soucieux de nouer le fil entre les cultures que de transmettre au plus grand nombre. Son rayonnement, son ouverture d’esprit et son immense talent musical nous manqueront.
Emmanuel Macron
Non seulement on perd un excellent musicien mais également un homme exceptionnel.
Je garde en moi tous ces souvenirs de concerts sur les plus grandes scènes, séance studio, confidences, pétanque, rigolade, barbecue, jam…
Merci pour ta générosité Didier.
Love
Ghali Hadefi
Playlist Couleurs Jazz, Hommage à Didier Lockwood. Durée 1H :
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NB : mots et témoignages recueillis principalement sur Facebook, Twitter et communiqués de presse.
Photo couverture ©Patrick Martineau -JzzM
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